Monday, November 23, 2009

Sarkozy a "tué" Juncker! Exclusif, les preuves.


"Jean-Claude Juncker nouvelle victime d'un menteur?"








Comme l'avait précisé dans son blog le célèbre journaliste Quatremer du Journal Libération,  confirmant "en direct" cette information je jour même de la négociation pour la désignation du président du Conseil de L'Europe, le véto "présidentiel" bien français dans le texte!

Http://www.bruxelles.blogs.liberation.fr/.../jeanclaude-juncker-nicolas-ma-tuer-.html

Puis s'est organisée la série de déclarations montéé de toutes pièces par L'Elysée... pour organiser le mensonge!

Alors comme "Il n'est de vérité sans confrontation!"


Le Général De Gaulle pourrait bien inspirer Nicolas Sarkozy!


-Le premier ministre luxembourgeois est bien de ceux qui ne croient plus aux "belles vérités" du chef de l'état français... Loin d'être aveugle et sourd, Jean-Claude Juncker sait que celui qui lui a enlevé la présidence de l'Europe n'est autre que "son ami" Nicolas...



-Finance Offshore, cité à de nombreuses reprises dans la presse internationale et luxembourgeoise veut lever le voile sur la véritable histoire de l'éviction organisée du premier ministre luxembourgeois.


-Contrairement aux mensonges du président français, le "Warm-up diplomatique" qui a précèdé le vote de la présidence unique s'est bien soldé par un "Veto" unique et "sans précédent de la France" contre le luxembourgeois, Jean-Claude Juncker.

Nicolas Sarkozy, irrité au plus haut point de "la fronde organisée" du premier ministre luxembourgeois contre l'OCDE (il avait organisé un mini sommet à Luxembourg) sur la question des paradis fiscaux et du placement en "bonne place" sur la fameuse liste grise du Luxembourg, a décidé de porter le Veto le plus ferme qui soit contre le premier ministre luxembourgeois.




-En effet, dans un premier temps, Jean-Claude Juncker s'était vu garantir par le président français, et ce dans le cadre de la "solidarité européenne" le non placement du Luxembourg sur cette liste, "dès lors que le premier ministre luxembourgeois s'était engagé" auprès de Nicolas Sarkozy et ce "personnellement" a signer les accords d'échanges d'information fiscale comme éxigés par le G20 de Londres... Et ce dans les plus brefs délais.



-Le président français n'a pas supporté d'être clairement ridiculisé sur l'autre dossier, le fameux secret bancaire pratiqué au Luxembourg, celui dont la France avait décidé de faire un "exemple prioritaire"! Exemple du luxembourg a traité au sein de la zone Euro, celle-même dont le premier ministre luxembourgeois occupe l'éminente fonction de chef de l'Eurogroupe (réunion des ministres des finances de la zone Euro). Nicolas Sarkozy avait voulu déjà cassé le premier ministre luxembourgeois en se proposant à la présidence de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker qui souhaitait qu'on lui accorde un temps pour une "réflexion constructive et diplomatique au nom de la solidarité européenne" et ce pour asseoir ses points de vue et ceux des autres états européens confrontés à la problématique d'une fiscalité optimisée, conciliante au possible... Ce qu'avait clairement refusé Nicolas Sarkozy, qui avait éxigé que ce temps de réflèxion constructive n'était pas utile au regard de la crise internationale et du besoin de signal fort pour "l'ensemble des européens", "ceux qui souffrent des conséquences de la crise dont l'évasion fiscale".




- Depuis cette divergence notoire, les deux hommes se sont essayés aux politesses, Jean-Claude Junker, dans les studios de RTL première radio de France (RTL Group, principal actionnaire, société sises à Luxembourg). A Paris, rue Bayard, trés remonté contre Sarkozy, le premier ministre luxembourgeois fera même "la leçon" au président français sur les questions fiscales, et le déficit catastrophique de la France d'un certain... Nicolas Sarkozy! Précisant aux auditeurs que le Luxembourg était l'état de l'Union Européenne ayant le déficit le moins important, pour sa "bonne gestion et l'optimisation de sa fiscalité pour les entreprises et le développement de l'emploi". Bonne santé de l'emploi qui génère un nombre important d'emplois aux nombreux "travailleurs frontaliers... français en majorité!"



-Le secret, celui que le Luxembourg cultive dans un "beau jardin" toujours jugé "trop secret" par ses voisins français, allemands, et belges est bien la réelle raison du différend qui oppose les deux hommes.



- Pour le Luxembourgeois, il n'est qu'une excuse "sans fondement pour trouver des coupables à la crise financière internationale, mieux il est le bouc-émissaire parfait coupable!" Hors comme le Luxembourg peut le démontrer à l'instar de la Suisse ou Monaco, il n'est qu'un élément trés marginal pour cette crise, voir sans lien. Il est surtout l'occasion de lutter contre l'évasion fiscale qui commence a peser sur les comptes des états au premier rang duquel la France qui totalise plus de 115 milliards d'euros de déficit... L'objectif du président français est bien de rapatrier ses fonds qui dorment (pense-t-il) par exemple à Luxembourg!


-Techniquement ceux-ci sont en transit depuis Luxembourg, car ils sont dans la plupart des cas implémentés dans les trusts pour assurer un réel anonymat aux réels bénéficiaires. C'est bien ce qui gene et irrite au plus haut point le président français, qui voit décoller depuis le "petit Luxembourg des sommes astronomiques à jamais perdues pour son administration fiscale ainsi flouée!" Les tentatives de menaces de la liste des noms de français "évadés fiscaux" en Suisse est un prémice "sans réelle conviction" qui est un ballon qui a déjà fait "Pshitt"! De quoi énerver le président français, un Nicolas Sarkozy qui en tient responsable également le premier ministre Luxembourgeois, jugé "dual et adepte d'un certain grand écart" par Paris quand il fait la promotion du secret bancaire avec sa casquette de chef... de l'Eurogroupe! Pour l'Elysée, trop, c'est trop!

- Nicolas Sarkozy ne pouvait accepter de se voir ainsi ridiculiser à nouveau par la nomination du premier ministre "et ami" luxembourgeois, Jean-Claude Juncker qui aurait ainsi vu sont pouvoir se démultiplier face à un président français obligé de composer avec le nouveau président unique de l'Europe... Trop difficile pour Nicolas Sarkozy qui vient de faire force de stratégie et réelle intélligence politique pour préserver le tandem Franco-Allemand en Europe, mettant au plus mal Angela Merkel! Chancelière dont l'amitié portée à Jean-Claude Juncker se retrouve écornée sur l'autel du Véto de la toute puissance France.




- Selon certains diplomates et sous couvert de l'anonymat, à Bruxelles, le jour j: "C'est durant les tractations, que nombreux chefs d'états furent "sollicités" par les conseillers diplomatiques de la présidence française pour revoir leur copie et éviter "un discrédit cuisant au premier ministre luxembourgeois" dont il fallait "assurer une sortie honorable". L'idée retenue par le président français et celle du parfait "coup de bluff"! Un certain "faites lui comprendre qu'il doit se retirer au profit du Belge" plutôt que d'un "vote pénible pour Luxembourg ou la France poserait son Veto avec de réelles motivations détaillées contre le premier ministre luxembourgeois et certaines révélations sur les pratiques de ce pays..." . La diplomatie est toujours maîtresse dans de telles circonstances, mais sur ce point les enjeux sont importants!


Sarkozy, menteur?

Selon certains membres du staff diplomatique présent, le terme "menteur" n'est pas adapté, on parle volontier de "stratège", mais avec la volonté sincère de Nicolas Sarkozy d'éviter "quand même" une "mauvaise et pénible sortie" au candidat et ami Juncker! Premier ministre luxembourgeois qui fait ainsi les frais d'un manque certain de solidarité pour les pays européens qui ne disposent pas du confort économique du Luxembourg... Confort qui pour la France et l'Allemagne ne repose "que sur des pratiques fiscales pas toujours "équitables" au regard du Pacte Européen!".


Jean-Claude Juncker a beaucoup perdu, mais il gagne cependant sa plus belle victoire sur Nicolas Sarkozy: "On peut être aussi petit, et l'ouvrir!". Mais celà se paie au prix fort...


Petit comme le Luxembourg en Europe, petit comme un certain président... Qui lui rappelle ainsi que la France reste une puissance incontournable.


En effet le président français devait préciser dans sa conférence de presse que la source luxembourgeoise pouvait se la fermer et vite!




Ce qui n'est donc pas fait...






Pour compléter votre analyse:

Site du Quotidien (luxembourg)


Site du Journal L'Essentiel (Luxembourg)



et l'article de Finance Offshore en référence du "Post" ici:





Photographies: tous droits réservés

Voici le clip qui a fait le tour des rédactions européennes, Finance Offshore est cité...
Pour quelles raisons? Devinez chers amis...



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