Thursday, April 30, 2009

Luxembourg: Jean-Claude Juncker en pleine crise! Par Didier REMER


"Rares sont les ministres européens qui disent que nous sommes un paradis fiscal, car nombreux sont ceux qui savent que ce n'est pas vrai. On ne peut pas réduire un pays à sa place financière: je ne dirais jamais que la France cesserait d'exister si son industrie d'armement s'écroulait. Ce serait également injurieux. On ne m'a jamais accusé publiquement d'être le chef d'une place qui appliquerait des règles nuisibles aux intérêts des autres.
C'est sous mon impulsion - on l'oublie trop souvent en France - que nous avons amorcé, en novembre 1997, la lutte contre la concurrence fiscale déloyale et avancé sur l'harmonisation de la fiscalité de l'épargne. Je siège à l'Ecofin depuis 1989: pensez-vous vraiment que, si le gouvernement britannique avait été animé par une volonté de réglementation financière, le petit Luxembourg aurait pu s'y opposer? Le centre financier du Luxembourg, un des plus importants du monde, ne peut pas vivre en dehors de la réglementation internationale. S'il y a des failles, il faut les éliminer. La crise prouve à l'évidence que la régulation financière est trop faible et que nous avons besoin de bien plus d'Europe en la matière."


Jean-Claude Juncker




C'est ainsi que répondait en janvier 2008, Jean-Claude Juncker au journaliste français de l'Express. Depuis, le premier ministre du Luxembourg sait que sa citadelle est "assiégée". Un état jugé paradis fiscal depuis le G20 et qui tente d'affronter les critiques de ses voisins en recherche perpétuel d'un Luxembourg toujours plus exemplaire en matière de moralisation financière. "Il y a actuellement à Luxembourg une grave crise de confiance entre le citoyen et le politique, il faut dire que la caricature faite de ce pays prend une tournure désastreuse! Réduire tout un état à sa place financière dans une image d'Epinal qui ne tient pas compte de ses autres réalités est une erreur. Le pays dispose d'un nombre considérable d'atouts autres que sa place financière et d'une diversité dont un bon nombre pourrait s'inspirer..." Précise un observateur du monde économique local. Jean-Claude Juncker qui dirige l'Eurogroupe ne sait pas s'il pourra se maintenir dans cette fonction après les élections de son pays au mois de Juin. En effet en plus d'être logique, l'annonce d'un possible retrait interviendrait qu'en fonction des résultats des échéances électorales. En fait il faut trouver la vrai raison dans une certaine lassitude du premier ministre luxembourgeois qui durant une vingtaine d'années n'a jamais ménagé ses efforts pour que le couple franco-allemand conserve ce précieux lien d'amitié, d'échanges. Aujourd'hui, une crise financière plus tard, il semble que le premier ministre luxembourgeois soit laché par certains chefs d'états européens, plus enclins à se consacrer au sort qui prédomine l'actualité... Comme bien trop souvent évoqué à Luxembourg, ce n'est pas la France qui souhaite cette "mise à l'écart", car à Paris "On sait que -Jean-Claude- est un allié, une source d'inspiration qui repose sur l'expérience! Un homme d'une très grande modestie, et plus fort, capable de faire bouger des montagnes... de diplomatie!(...) Il est vrai que pour le dossier des paradis fiscaux, il y a eu certaines passes d'armes pas toujours faciles, mais il ne faut pas s'y tromper, le contentieux entre la France et le Luxembourg n'est qu'un phantasme de journalistes avides de sensations!" Souffle un conseiller qui tempère son propos: "Nous avons avec ce pays un lien si fort que les envieux profitent de la moindre occasion pour mettre l'huile sur le feu!". Car depuis la crise ouverte avec l'OCDE, et son secrétaire général Angel Gurrià, Jean-Claude Juncker s'est retrouvé un temps "isolé" avec les Suisses et tous les autres états listés. Si on prend le temps d'analyser objectivement les déclarations du chef de l'Eurogroupe, il fait force de dire tout haut ce que finalement tout le monde pense tout bas: "La liste de l'OCDE est incomplète et il faudra bien que ceux qui veulent faire dans l'exemple s'appliquent à eux-mêmes des règles équivalentes!". Le Luxembourg vient d'ailleurs de signer des nouveaux accords avec les Etats-Unis dans le cadre des accords de coopération relatifs aux critères de l'OCDE. Comme l'a martelé Jean-Claude Juncker depuis des semaines, il serait injuste que les Anglos-Saxons soient exempts d'exemplarité dans ce dossier. La prochaine réunion de l'OCDE à Berlin sera l'occasion pour les luxembourgeois de faire valoir leurs arguments. Ce qui est reproché au premier ministre luxembourgeois est finalement une législation permissive dans ses applications concrètes (par exemple sur la garantie des OPCVM) et plus largement pour les hedge funds, le dossier UBS étant passé aussi par là, avec l'affaire Luxalpha... Mais l'extinction du secret bancaire en 2014 pour l'ensemble des états membres de l'Union Européenne devrait dans le contexte général qui prévaut assurer la mise à plat des principaux griefs actuels pour le Luxembourg. La crise qui touche la planète ne s'est pas arrêtée aux frontières du Luxembourg, le pays compte des licenciements et mêmes des faillites, dans l'ensemble il résiste plutôt mieux que ses voisins. Pourtant le débat politique intérieur est très tendu, il est clairement reproché à l'actuel gouvernement de Jean-Claude Juncker de s'occuper plus des dossiers extérieurs que de l'intérieur. Sur la place financière, il y a des inquiétudes qui se font sentir, la donne ayant changée au niveau réglementaire et international, nombreux sont ceux qui considèrent que la situation Suisse préfigure celle de la place luxembourgeoise... "Notre premier ministre pouvait prendre acte des vérités qui caractérisent aussi notre place financière, certaines de ses pratiques douteuses. Car ici, on sait que cette richesse repose aussi sur ces niches spécifiques. Il a été léger par son implication personnelle dans l'affaire en niant un peu trop vite cette réalité. C'est bien cet aspect qui aura braqué le plus nos partenaires européens au G20..." Souffle un banquier. Il est vrai que le président de l'Eurogroupe avait organisé le mini sommet de Luxembourg en conviant la Suisse et l'Autriche pour fédérer une certaine rébellion à l'encontre des modalités d'établissement de la liste grise et faisant force d'intimer à la Suisse une résistance toujours plus marquée à l'encontre de l'OCDE. Jean-Claude Juncker serait particulièrement remonté contre le couple franco-allemand qui selon lui, n'aurait pas vraiment milité pour lui éviter l'affront de la présence du Luxembourg sur une telle liste. Laissant ainsi au "bon passé" la solidarité européenne...
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Nit de pluja abans del sol.


Avui dijous, dia abans del pont de l’1 de Maig, s’ha despertat assolellat, però amb el pas de les hores el sol ha començat a quedar esmorteït i els núvols han començat a guanyar a terreny. La causa és el pas d’un front fred bastant actiu que a hores d’ara està donant precipitacions en molts punts de Catalunya, algunes d’elles d’una certa intensitat i, fins i tot,sembla que amb algun nucli tempestuós.

Així doncs, amb el pas d’aquest front, que a més crearà una petita àrea d’inestabilitat enfront del litoral català, s’espera que a partir del vespre, les precipitacions arribin a Tossa, o millor dit, sembla que arribarien a Tossa (després del salt que ens han fet les nombroses tempestes al llarg d’aquest mes d’abril, començo a desconfiar de mi mateix). Però vist els models, la situació en els diferents nivells i el moviment de les masses nuvoloses sembla que aquesta vegada no ens faran el salt i podrem regar una miqueta, que ja ens tocaria, i es que Tossa es una de les zones (per no dir l’única) que menys ha plogut aquest mes d’Abril.

En resum, que a partir del vespre i al llarg de la nit, les precipitacions han de fer acte de presència a Tossa, no es descarta que a primeres hores de la matinada siguin d’una certa intensitat. A partir de demà, primer dia del pont, tot i la presència de núvols a primeres hores que encara podria deixar algun ruixat, la tendència serà a obrir-se clarianes i a deixar pas un cap de setmana assolellat (si no fan acte de presència les boires o els núvols baixos de mar) amb temperatures cada cop més altes.

A gaudir del pont i a seguir l’evolució de les pluges d’aquesta nit.
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L'ARMEE ALLEMANDE PRISE LE CHEMTRAIL DERRIERE LA TUYERE. LES METOROLOGUES SE REBIFFENT

voir video

A plusieurs reprises les météorologues allemands ont fourni la preuve d'épandage suspect de polymères et de composés métalliques par les avions de la 'Luftwaffe' ; Les infos et les associations citoyennes s'en mêlent et demandent des comptes .Johannes Remel député vert allemand monte au créneau et le météorologue Karsten Brandt dépose plainte contre l'Etat allemand pour manipulation climatique Le mouvement ne semble pas prêt de s'arrêter
A quand des actions citoyennes de Meteo- France??? Voir cet autre lien ACSEIPICA
http://www.dailymotion.com/video/x9qpu4_chemtrail-preuve-meteo-allemande_news?from=rssAny source

SearchWiki, ora anche per l'Italia

Vi è mai capitato di voler modificare i risultati di ricerca su Google? Magari siete grandi fan di cinema, e il vostro sito di recensioni preferito compare in quarta o quinta posizione, mentre voi vorreste vederlo più in alto. Da pochi giorni questo e molto altro è possibile anche in Italia grazie alla funzionalità SearchWiki di Google.

SearchWiki permette a ciascun utente, dopo aver effettuato l'accesso al proprio account Google, di personalizzare i risultati di ricerca per una certa parola chiave, spostando in alto o in basso i diversi link o aggiungendo siti web non presenti tra i risultati, inserendo se lo si desidera commenti a lato di ciascuno. E' molto importante notare che tutte queste modifiche saranno visibili solo a chi le ha effettuate, e non cambieranno il ranking in cui gli altri utenti di Google visualizzano i risultati di ricerca per la stessa parola chiave, o l'ordine in cui li visualizza lo stesso utente se non ha effettuato l'accesso al proprio account Google.

In questo modo sarà possibile personalizzare la visualizzazione dei risultati di ricerca in base alle proprie preferenze, ma anche confrontarsi con la community e vedere come altri utenti hanno personalizzato i propri risultati per la stessa parola chiave, facendo clic sul link "Mostra tutte le note per questa ricerca SearchWiki".
In qualsiasi momento potrete gestire ed eliminare tutte le vostre modifiche dalla pagina "Le mie note SearchWiki".

Nella speranza che troviate SearchWiki divertente e utile, attendiamo i vostri commenti ed opinioni.


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Buone notizie per il web

Sono ben due le buone notizie per il Web uscite in questi giorni: l’abrogazione del c.d. “emendamento d’Alia” e la creazione, da parte di 12 parlamentari di maggioranza e opposizione, di un “Intergruppo parlamentare 2.0”. Abbiamo parlato diverse volte su questo blog (qui e qui) dell’art. 60 del ddl sicurezza, che prevedeva il filtraggio dei siti Internet con contenuti che incitano ad attività illecite.

Dopo l’intervento del Ministro Maroni e di una serie di deputati di maggioranza ed opposizione, le Commissioni giustizia e affari costituzionali della Camera hanno approvato a notte fonda un emendamento soppressivo dell’articolo a firma dei deputati PDL Cassinelli e Mannucci. Siamo molto felici di questo risultato, che vediamo come un grande successo di e per il popolo della rete.

Altra bella notizia è la creazione, da parte di deputati e senatori di maggioranza e opposizione, dell’Intergruppo Parlamentare 2.0, il cui scopo è quello di “promuovere un confronto tra politica, imprese e cittadini sul Web 2.0 ed i suoi strumenti, al fine di sfruttarne al meglio le opportunità per l’intero sistema Italia in termini di sviluppo economico, culturale e democratico: prima di legiferare bisogna capire e dialogare.” Questo utilizzando gli strumenti tipici del Web 2.0, e un blog dedicato.

Auguriamo ogni successo a questa iniziativa, mettendoci a disposizione dei “Parlamentari 2.0” per contribuire a rafforzare lo sviluppo di una rete aperta, sicura e libera.


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Wednesday, April 29, 2009

The Elevator Pitch: Clarity, Above All

The "elevator pitch" is the current catch-all phrase for selling yourself (your background, your deal, your pitch, your company) in a few precious minutes. You’ve got two minutes. Or sometimes, 30 seconds. What do you say? How do you say it? How do you make the lasting impression? How do you create a buzz?

"Elevator pitch" is best known in the networking or recruiting environment, when you want to make yourself known or special. But the pitch applies to other business settings, too: winning the deal with a client, making a point with a business head or even CEO. Elevator pitches are relevant in pitching specific deals, products or services to clients or convincing internal committees to do a deal, approve a transaction, invest in a business or bring a client on board.

The most important factor in this one-minute pitch, above all, is clarity. Sometimes clarity is more important than the details or genuine logic of the pitch. Can the listener understand what you are saying and hear the main points without having to ask again or decipher what you said? If he/she can comprehend in minutes what you say, that's half the ballgame. The successful pitch wins you permission to get to the details or to the underlining logic of your message. If it’s not clear up front, then it's an uphill battle right away.

If the listener (the senior manager, the client, the CEO, the special networking contact, the board) understands the first few statements and points clearly, that sets the stage for the next parts of the conversation. In fact, the conversation unfurls easily from there. If those first few statements are clear, precise, and hard-hitting, sometimes you may not even need to go through the rehearsed latter parts of the pitch. The listener, inspired and eager by your convincing “headlines,” will help progress and push the conversation along, because he/she is engaged or understands where it's going.

Try to be relevant, unique, and different. But always, clear and succinct. Then show applicability right away. The listener thinks, “Okay, good point, but how can all this be useful to me right away?”

So keep in mind, after that hard-hitting first sentence, the listener wants to connect the dots with specifics and then wants to be ready to jump into the conversation in a natural way. If the dots can’t be connected and if the listener has to struggle to jump in, then the pitch dies.

Polishing the techniques of the elevator pitch works, too, for getting deals done in banking and actual business settings with clients. The client will ask, "Why should I do this deal with your bank?" Or “Why should I buy this product or service?” A bank’s internal committee will ask, "Why should we do this deal at all?" And often, you get only minutes to sell in both cases--even if the meeting is supposed to last an hour!Any source

RDF and Twitter: Compare and Contrast

As I wrote previously, RDF was developed with the idea that it would be the backbone of something called the "semantic web", which was supposed to be different from the world-wide web in that machines would be able to transmit and "understand" information from global network. In contrast, Twitter was developed with the idea that people would need to document their sad pathetic lives in 240 character chunks. On this date, however, the Twitterverse seems to be an intelligent global network that can transmit and understand almost anything, and the RDF-based semantic web seems to still be convinced of a need for agents to transmit dribbles of sad, pathetic knowledge in an endless stream of subject-object-predicate triples.

It's interesting to compare the core data models for RDF and for Twitter. In RDF, the fundamental particles are, as I've said, subject-object-predicate triples. To recast that last sentence into the RDF model, we would proceed as follows:
 Assertion:
subject: RDF
object: subject-object-predicate triples
predicate: has fundamental particles of type
That's probably too self-referential for most people to wrap their heads around, so instead I'll change the example:
 Assertion:
subject: The United States
object: Barack Obama
predicate: has a president named
I usually have trouble remembering which is the predicate and which is the object. If you think about it, however, you can express the same particle of knowledge in ways that swap the roles of predicate and object, or even subject and predicate. For example:
 Assertion:
subject: Barack Obama
object: President of the United States
predicate: has the office of
In your copious spare time, you can work out the other 4 permutations.

Now let's look at Twitter. The particle of information in Twitter, the tweet, seems also to be a triple:
 Tweet:
tweeter: gluejar
message: going to bed now!
time: Wed, 29 Apr 2009 06:58:01 +0000
The tweeter in turn has associated with it sets of followed users and followers as well as profile information. There's a lot to talk about here, and in a previous post I pointed out that Twitter message content is becoming richer and more linguistically complex. But the point I'd like to make for now is that twitter's point of view is that it doesn't care so much about what the message is saying as who is saying it and when it was said. The more we look at the RDF examples above, the more the subject-object-predicate representation of knowledge seems limiting. The assertion may be true or false depending on when it was said; assertions removed from the context of who is making the assertion are for the most part useless because machines have no way to know whether to trust the assertion.

Friend-of-the-blog Jeff Young asserts that the OpenURL data model can be thought of as answering 6 questions: Who, What, Where, When, Why and How. Whatever success Twitter has achieved can be thought of as an argument that the most important of these are the Who, What and When.

Sanity Alert! the following may be mind-blowing to certain susceptible individuals: the data model that Twitter REALLY uses to propagate tweets is RSS and Atom. These formats are decended from what was originally called "Meta Content Format" which became "RDF Site Summary" (Yes, the very same RDF!) which became "Really Simple Syndication" or maybe something else, I'm not sure for sure. Here's how Twitter REALLY feeds into the semantic web:
  tweet:
title: gluejar: going to bed now!
description: gluejar: going to bed now!
pubDate: Wed, 29 Apr 2009 06:58:01 +0000
guid: http://twitter.com/gluejar/statuses/1649740567
link: http://twitter.com/gluejar/statuses/1649740567

Exercise for the reader- how does this look in Atom?

Does anyone but me think that there's something weird going on here?

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ICIE09: World ‘desperately’ looking for sustainable financial system


By Habhajan Singh
The world is desperately looking for a viable solution towards a sustainable financial system now that is in the midst of the worst financial crisis, said Organisation of Islamic Conference (OIC) secretary general Prof Ekmeleddin Ihsanoglu.
In this connection, he told a two-day conference on Islamic finance that the Islamic banking and finance now has an opportunity to be an important stakeholder of what he calls the new world financial order in regaining trust and confidence.
He said that a number of experts and Islamic bank officials have confirmed that Islamic banking has not been affected by the global financial crisis and that "bad effects" would be limited due to the nature of Islamic banking.
"The on-going global financial crisis promted many to question the integrity and the sustainability of the existing international monetary and financial system," he said in his keynote address at the International Conference on Islamic Economics and Economies of the OIC Countries (ICIE) 2009 in Kuala Lumpur on April 28.
The two-day conference, which ended yesterday [April 29], was jointly organised by International Islamic University Malaysia's (IIUM) economics department and Islamic Research and Training Institute (IRTI) of the the Islamic Development Bank Group.
Dr Abbas Mirakhor, a professor of economics and a former executive director at the International Monetary Fund (IMF), was the keynote speaker on the second day.
In his speech, Ihsanoglu noted that Islamic banking and finance has some way to go before it can be a serious alternative to conventional finance and banking.
He said OIC has played a role in areas like dialogue among civilisations, defending the image of Islam and combating the phenomenon of Islamophobia.
"In the face of the mounting phenomenon of Islamophobia in the West, the OIC has placed this issues at the top of its priorities and pre-occupations by conducting a large-scale world-wide effort to confront it.
"We have been able to achieve convincing progress at all levels, mainly at the UN Human Rights Council in Geneva and the UN General Assembly in New York," he said.
OIC is the second largest intergovernmental organisation after the United Nations which has membership of 57 states spread over four continents. ICIE 2009 had four focus areas.
In Islamic economics, it is to evaluate the current state of art in the various sub-areas, from environmental economics to monetary economics, and theoretical and policy studies dealing with the development of Islamic economics.
On Islamic banking and finance, it is looking at the fundamentals of Islamic finance, regulatory structures, Shariah compliant investment, takaful, risk management, branding opportunities for Shariah compliant products, socially responsible investment strategy, wealth management, sukuk, zakat, hedge funds and derivatives, housing finance and Shariah compliant mortgage products.
On economies of the OIC countries, the conference is evaluating the performance and current status of economic development in the OIC member countries, and the role of the OIC and IDB in facilitating development in OIC countries.
The fourth area is in the economic cooperation among the OIC countries where it looks at the current status, challenges and problems, strategies to increase cooperation and trade, and the potential role of the OIC and IDB in enhancing economic integration.

(This story appeared in The Malaysian Reserve on Apr 30, 2009. The Malaysian Reserve is a daily business/finance newspaper published out of Kuala Lumpur, with a sectoral page on Islamic finance on Mondays, edited by Habhajan Singh) Any source

Madoff:Jean-Claude Juncker ou comment défendre sa place!


                                        Jean-Claude Juncker, défendre sa place...


Comme évoqué ici depuis plusieurs mois, il semble que nos amis belges se tournent à présent vers le grand-duché pour obtenir toujours plus d'explications sur certaines pratiques de Fortis et donc certains liens avec la place de Luxembourg... Piste intéressante pour démontrer la possible et potentielle responsabilité de l'état luxembourgeois dans certains mécanismes qui portèrent "un certain laxisme" comme le pense des actionnaires floués par la cession de la banque belgo-néerlandaise aux français BNP Paribas. Intérêt relatif, certes, mais la démonstration des pratiques de la place doit pouvoir contribuer à éclairer les actionnaires qui se seraient constitués en justice pour utiliser toutes les voies de recours possibles...

Les excellents journalistes de "La Libre Belgique" s'en sont ouvert auprès du premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker qui leur a répondu avec une argumentation qui devra aussi éclairer ceux qui doutent encore des bonn;es intentions du premier ministre. D'abord un constat, c' est bien celui qui doit toujours jongler avec sa double casquette de chef de l'état du Luxembourg, visé par la liste de l'OCDE et de celle de président de l'Eurogroupe, qui selon des observateurs est devenu toujours plus informel depuis le g20 de Londres, (réunion des ministres des finances de la zone euro). Jean-Claude Juncker relativise le dossier Madoff et Luxalpha en refusant les raccourcis et la caricature pour sa place, ses intérêts. Il minimise l'affaire de la banque Kaupthing et sa célèbre faillite. On remarquera le manque d'honnêteté intellectuelle qui caractérise encore certains politiques luxembourgeois quand il s'agit de reconnaître "la légèreté organisée" en matière de législation sur les fonds d'investissements. Refusant ce "dure" constat que les ministres français et allemands soulignaient dèjà à la réunion de l'OCDE de Paris en octobre dernier, réunion à laquelle le même Jean-Claude Juncker avait considéré ne pas devoir faire acte de présence! Occasion manquée pour faire valoir ses "bons" arguments comme ceux évoqués aux deux journalistes belges... On connaît la suite, il a été plus enclin pour organiser le mini sommet de Luxembourg contre "l'injuste liste" du G20 et surtout de l'OCDE. Le premier ministre ne manque pas de continuer son oeuvre depuis les salons feutrés de son ministere d'état. Cependant, pour Luxalpha, les autorités de contrôle (CSSF) et régulations se sont vite conformées aux attentes de la justice, en tous cas pas moins que dans les autres états. Ce qui permet de conserver un optimisme de rigueur sur les qualités des professionnels de la place... En 2014, le secret bancaire n'éxistera plus au sein de l'Union Européenne nous promet le Parlement Européen. Le G20 de New-York quand à lui, assure la fin des paradis fiscaux, et plus particulièrement un volet sanction renforcé pour les irréductibles dont Luxembourg ne fait plus partie. Les américains vont à ce sujet proposer des résolutions sur les hedge funds et certains parlent de conséquences graves pour les pays qui se sont lancés dans cette spécificité de la finance...
 
Jean-Claude Juncker souhaite réorienter la place vers des produits et pratiques éthiques, ce qui semble devenir la règle commune de tous les chefs d'états empreints de réalisme économique. Il sait que tous les autres états doivent se montrer exemplaire, sans aucune exception...



Voici l'article de "La Libre Belgique":



Quand le scandale Madoff embarrasse le Luxembourg


Par ARIANE van CALOEN et MARC VANDERMEIR au Luxembourg
Mis en ligne le 27/04/2009


Plusieurs affaires, dont la déroute du fonds Luxalpha investi dans des produits Madoff et la faillite de la banque Kaupthing, ont-elles écorné la réputation de la place financière du Luxembourg ? La question est posée. Jean-Claude Juncker se défend.


Jeudi onze décembre 2008. La planète finance, qui n’en finit pas de chanceler, subit un nouveau coup dur. Le scandale Madoff, du nom du gestionnaire américain, vient d’éclater. La fraude s’élève à 50 milliards de dollars. C’est énorme.

Les banques du monde entier scrutent une fois encore leurs bilans infectés de papiers toxiques. Sont-elles, d’une façon ou d’une autre, touchées ? On apprend qu’un fonds luxembourgeois, Luxalpha, essentiellement distribué en France, était bourré de produits Madoff. Très vite, les épargnants comprennent qu’ils auront du mal à récupérer leur argent (lire ci-dessous). La gestion du fonds, derrière laquelle on trouve le géant suisse UBS, a montré des défaillances. La ministre française Christine Lagarde fustige le Luxembourg pour son laxisme en matière de législation sur les fonds d’investissement. L’attaque fait mal. Car l’Union européenne en général et le Luxembourg en particulier ont attiré les capitaux internationaux dans leurs fonds en faisant miroiter une meilleure garantie de l’argent ainsi placé que dans les fonds américains.

La place financière grand-ducale en prend pour son grade. Sa réputation avait déjà été entamée au moment de la cessation de paiement de la banque Kaupthing début octobre. Surtout en Belgique, où de nombreux épargnants avaient placé leurs économies dans la succursale belge de la filiale luxembourgeoise. Ils s’étonnent qu’on ne les ait pas prévenus du risque. A cela, l’autorité de contrôle luxembourgeoise - la CSSF (Commission de surveillance du secteur financier) - répond qu’elle ne peut "jamais émettre des avertissements publics concernant des entités autorisées qui travaillent en toute légalité". D’ailleurs, dans les autres pays où la banque islandaise était établie, "aucune des autorités concernées n’a lancé un avertissement public".


Alors, y a-t-il un problème avec le Grand-Duché ?

 "Je ne vois pas dans quelle mesure la crédibilité de la place serait atteinte par les scandales Madoff et autres, car la place luxembourgeoise n’est pas la seule à souffrir de ces méfaits. Ne créons pas un phénomène luxembourgeois. Ce qui vaut d’ailleurs aussi pour Kaupthing. Sur cette affaire, je ne vois pas en quoi le Luxembourg n’aurait pas fait ce qu’il aurait dû faire. Nous sommes en contact permanent avec le gouvernement belge pour trouver une solution pour les clients belges de cette banque. Pour le reste, notre place financière souffre comme toutes les autres quant aux résultats et produits fiscaux que ces places sont susceptibles de générer. La place luxembourgeoise n’est pas atteinte dans une mesure exorbitante par rapport aux autres. Je crois qu’en Belgique, on n’est pas très surpris de voir le Luxembourg apparaître sur une liste grise, mais on est très surpris de voir la Belgique s’y trouver. La Belgique a coulé de doux rêves. Il y a un secret bancaire en Belgique, où l’on disait toujours qu’il n’y en avait un qu’au Luxembourg. C’est curieux, non ? On simplifie à outrance la réalité des autres, et on perd de vue sa propre réalité", nous a expliqué Jean-Claude Juncker.


Après les attaques françaises, Luc Frieden, le ministre luxembourgeois du Trésor, a fait une sortie qui visait à redorer l’image de la place de Luxembourg. La garantie pour les épargnants est la même au Luxembourg qu’en France, elle est issue de la même directive européenne, a expliqué le ministre. Il a aussi rappelé que les banques dépositaires d’OPCVM (Organismes de placements collectifs de valeurs mobilières) à Luxembourg "avaient une grande responsabilité", et notamment "une obligation de conservation, de restitution, de surveillance et de contrôle" des actifs des fonds.

Si cette affaire a pris une telle ampleur médiatique, c’est aussi, comme l’explique Erik Bomans, associé chez Deminor (qui a aussi été sollicité par des clients de Luxalpha), parce qu’elle met sous pression le Luxembourg au niveau de son "core business, à savoir le custody" (gestion matérielle des placements). Toutefois, il ne partage pas les critiques de Christine Lagarde. "Le droit luxembourgeois a tout l’arsenal nécessaire pour protéger le droit des investisseurs", estime-t-il. De plus, poursuit-il, "la CSSF, l’autorité de contrôle luxembourgeoise, a commencé l’investigation et mis la pression sur UBS. L’autorité de contrôle irlandaise, qui, elle aussi, a été confrontée avec des fonds Madoff, est restée plus passive".
Attaques pernicieuses ?


Certains se demandent donc si les attaques n’étaient pas infondées et même pernicieuses dans la mesure où elles viseraient à défendre les fonds français.

Même si elles sont injustifiées ou excessives, ces attaques ont quand même semé le doute et délient les langues. C’est ainsi qu’on apprend que, le 17 septembre, Fortis Banque a émis, via le Luxembourg (et avec, donc, l’approbation de la CSSF), des obligations subordonnées.

Le prospectus d’émission contient des informations arrêtées à fin juillet. Or, c’était moins de dix jours avant le sauvetage en catastrophe du groupe belgo-néerlandais. Regrettable ? A cela, la CSSF répond qu’un prospectus, établi à la mi-septembre 2008, devrait reprendre au minimum les informations financières historiques se rapportant à l’exercice dont la clôture a été faite au 31 décembre 2007. Formellement, elle n’est donc pas en tort. Faut-il en déduire que Fortis Banque a estimé plus facile de faire une émission au Grand-Duché qu’en Belgique ? Certains se posent la question.

En cette période de crise, les autorités de contrôle sont mises à rude épreuve. Y compris au Luxembourg.




Source: "La Libre Belgique" Tous droits réservés
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BNP Paribas toujours plus haut avec Fortis! Par Didier REMER



C'est à Utrecht, aux Pays-Bas, que s'est joué la fin de la reprise mouvementée de Fortis par BNP Paribas. Commencée hier à Gand en Belgique, siège historique de Fortis Holding, l'ambiance de la première assemblée générale, était très tendue. La sécurité était même intervenue sur le podium pour maintenir les nombreux actionnaires qui s'étaient avancés jusqu'à la tribune du président du conseil d'administration De Mey, encore choqué. Dans un premier temps, l' avocat Mischael Modrikamen venait d'appeler au micro les actionnaires à se déplacer en masse. Dépassé par son propre appel, il fera vite marche arrière pour demander le calme et "la dignité qui doit prévaloir" à l'assemblée générale. Il faut dire qu'avec Deminor, la lutte des "petits actionnaires" ne pouvaient donner que trop peu d'échos à une issue autre que la cession "toute tracée" de Fortis Banque à BNP Paribas. C'est donc le vote d'Utrecht qui aujourd'hui valide la patience du groupe français qui devient du coup première banque de la zone euro. Les votes massifs depuis des sociétés domiciliées à Caïman Islands venaient compléter "le tour de table" favorable à la cession... De quoi irriter le camps de ceux qui refusent cette cession. La Belgique perd donc sa principale banque et fleuron de la finance belgo-néerlandaise. "Il faut rester réaliste, l'avocat Modrikamen est dans une logique bien délicate, ceux qu'ils représentent, et ce plutôt courageusement avec de grandes qualités, ne sont en rien capables de faire obstacle à la puissance de BNP Parisbas. Mais la prudence est de rigueur!" Souffle un conseiller du groupe.Le groupe français peut donc enfin "respirer", la deuxième assemblée générale a bien confirmé son nouvel accord sur la cession de la Fortis Banque à BNP Paribas. Décision qui avait été approuvé mardi lors de l'assemblée générale à Gand (Belgique) de l'ancienne maison mère Fortis Holding. L'ambiance était tendue et houleuse: "Oui mais la Belgique perd sa principale banque! C'est pour certain le démantèlement de toute la Belgique qui se profile avec ce triste exemple!" Précise un économiste présent... Hier, après le départ de l'avocat Mischaël Modrikamen, jugé comme la dernière cartouche des "petits" actionnaires et minoritaires, près de 73% des votants ont approuvé la dernière mouture de l'accord prévoyant que BNP rachète 75% de Fortis Banque.BNP Paribas qui va reprendre 25% des activités d'assurance en Belgique de Fortis Holding, ancien fleuron de la finance belgo-néerlandaise. Mais Me Modrikamen ne cache pas qu'il entend formuler de nombreux recours plus particulièrement avec la contestation "de la régularité des droits de vote accordés à des fonds spéculatifs entrés récemment au capital de Fortis Holding" quand "le cours de Bourse était au plus bas, et donc plus susceptibles de voter en faveur de BNP que les petits actionnaires historiques qui ont déjà beaucoup perdu." Les recours d'actionnaires qui s'estiment floués empêchaient depuis sept mois à la BNP de prendre le contrôle de Fortis Banque. Fortis Banque et Fortis Holding sont en effet issues du démantèlement en octobre du bancassureur belgo-néerlandais Fortis, un des premiers groupes européen frappé par la crise financière. Appelés à son secours, les Etats belge et néerlandais, avaient orchestré son démantèlement en octobre. Le premier avait alors nationalisé provisoirement Fortis Banque, en attendant d'en revendre 75% à BNP. Les actionnaires de Fortis Holding, qui ont vu la valeur de leurs titres s'effondrer en Bourse, avaient déjà voté une première fois contre le démantèlement de leur groupe lors d'une assemblée générale le 11 février à Bruxelles, obligeant l'Etat belge à renégocier son accord avec BNP. C'est la dernière mouture de cet accord qui vient d'être actée par l'assemblée générale d'Utrecht et dans une ambiance plus "posée" précisent de nombreux observateurs encore sur le coup "de la fronde de Gand". En Belgique certains font grise mine et parlent d'une "braderie" au profit de la banque française. "Il est clair que nos politiques se sont limités à un plan qui manque cruellement d'audace, tout juste une solution qui fait la part belle à nos cousins français! Didier Reynders (ministre) est à la merci de personnes qui portent des intérêts éloignés du coeur de chaque belge!" (...) "Le plus grave, c'est le plan social que va donner la synergie des compétences des deux groupes, on sait que le pire est à venir, les syndicats seront vigilants!". Un autre actionnaire: " Il fallait le faire, c'est fait! Que des cabinets d'avocats soient intéressés à la pêche habituelle aux honoraires m'importe peu. Le plus important, c'est que dans la crise actuelle, l'essentiel soit sauvé, toujours plus intelligent que la faillite évitée et dont certains belges ne semblent pas vouloir intégrer à quel point le risque était bien réel! Le reste viendra avec les compétences des personnels, du conseil d'administration et le retour à la confiance des clients." BNP Paribas va donc devoir rassurer la clientèle du réseau belge tout en fêtant cette victoire qui lui ouvre de nouvelles perspectives toujours plus fructueuses.
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UNE BELLE COORDINATION EUROPEENNE DANS LES EPANDAGES AERIENS



D'apres ces photos satellites du 24/04/09 communiquées par Bertrand l'on voit que le même jour la France et l'Espagne sont l'objet d'epandages systematiques (les petits traits grisatres sur les photos -zoom conseillé!-)ce qui implique à la fois des moyens importants( que j'evalue pour ma part à une flotte d''une cinquantaine d'ATR par pays) et une coordination sans faille. Mais qui decide ainsi de changer la meteo et d'influencer ainsi directement le moral de millions de français et d'espagnols le même jour ? On ne peut s'empecher de penser que depuis notre reintegration dans l'OTAN les epandages se coordonnent comme on le voit sur les photos et egalement se multiplient ; il n'est pas rare de constater au même endroit et le même jour jusqu'à deux ou trois epandages.Quand l'on songe que meteo France s'est doté recemment d'un super-calculateur et que ses previsions sont regulierement battues en breche au moins une journée par semaine=periodicité minimum des epandages( et allez savoir quel jour ces messieurs ont programmé et les effets que cela va engendrer!!!)Any source

The Iterative Webapp - Gmail for mobile Gets Mute

On April 7th, we announced a new version of Gmail for mobile for iPhone and Android-powered devices. Among the improvements was a complete redesign of the web application's underlying code which allows us to more rapidly develop and release new features that users have been asking for, as explained in our first post. We'd like to introduce The Iterative Webapp, a series where we will continue to release features for Gmail for mobile. Today: Mute. --Shyam Sheth, Product Manager, Google Mobile.

One of my favorite inbox triage techniques is Gmail's 'mute' feature. Once I've muted a message, follow-up emails to the conversation bypass the inbox, keeping it clutter free. With mute now available in Gmail for mobile on the iPhone and Android-powered devices, you can quickly manage your inbox while you're on the go. To access mute - select a message and from the drop-down options on the Floaty Bar, tap 'Mute'.



To try mute in Gmail for mobile, just go to gmail.com in your iPhone or Android-powered device's browser. To make it easy to access your account, we recommend adding a home screen link. In the spirit of 'launch early and iterate', stay tuned for more announcements from the Gmail for mobile team.

Please note: The new Gmail for mobile supports iPhone/iPod Touch OS 2.2.1 or above as well as Android-powered devices. The new Gmail for mobile is available for English only.

Update 4/30/09, 11:19am - This feature is available for US English only.

Posted by Deng-Kai Chen, Associate Product Marketing Manager, Google MobileAny source

Short view: Obama's first 100 days

FT.com's John Authers examines President Obama's first 100 days in office, and offers up an economic compare & contrast exercise with the first "first 100 days", those of FDR's 1932 term.

Related articles and posts:

1. FT in-depth: Obama's first 100 days - FT.com

2. Obama says he is 'remaking America' - Bloomberg.Any source

Christine Lagarde, nouvelle "task force" médiatique aux Etats-Unis! Par Didier REMER





La nouvelle "task force" des médias du président français Sarkozy, madame Christine Lagarde vient de faire sensation à New-York. En marge de la réunion de Washington pour le F.M.I, la ministre des finances vient de marquer des points pour la "maison France". Invité de la célèbre émission de Stewart, "The Daily show", institution sur Comedy Central, la ministre vient de définir avec humour mais sérieux les objectifs de la France et son sentiment sur la crise actuelle. L'émission est un talk qui confronte l'invité avec les sujets de l'actualité face à un journal à la "Karl Zéro", le Zéro en moins bien sûr! La ministre s'est bien défendue "on pensait pas obtenir une telle prestation spontanée, "cash" bien à l'américaine et surtout sans concessions." Souffle un conseiller en com. qui parle même "d'opération qui donne l'occasion de montrer que les relations franco-américaines sont au beau fixe! C'est la ministre du gouvernement qui doit abattre le plus de travail, loin des polémiques, madame Lagarde conserve le bénéfice d'une carrière éxemplaire d'avocat aux Etats-Unis, et d'un professionnalisme qui ne fait pas doute." Déjà à Washington, Christine Lagarde s'est largement démarquée de ses homologues, plus réactive, plus impliquée dans ses dossiers et de trés bon conseil dirons les nombreux intervenants... Nombreux sont les experts qui pensent que madame Lagarde pourrait devenir le futur premier ministre de Nicolas Sarkozy.

Voici l'article du magazine "Gala"(France) qui retrace l'intervention de la ministre, il est intéressant de voir que la ligne politique de la France depuis le G20 est bien restée inchangée:

Article de "Gala"

Peu d’hommes politiques français s’imposent sur les plateaux de télévision américains. Christine Lagarde a fait merveille dans le show humoristique le plus risqué et difficile, celui de Jon Stewar, donnant une image nouvelle, plaisante, efficace et… inattendue de la France.
Elle est entrée sur le plateau en trombe sous les applaudissements, portant, curieusement, un gros sac à main rouge, cachant sa nervosité derrière un sourire un peu crispé. Mais quel succès! Christine Lagarde, après les rencontres du FMI à Washington, avait pris le risque, lors de son escale à New York le 28 avril, de passer dans le fameux « Daily Show » de l’animateur Jon Stewart.
Cette émission, diffusée à 23 heures, est un «vrai-faux journal» légendaire de la chaîne Comedy Channel, qui fait ses choux gras de l’actualité et surtout des tics et du sensationnalisme des news américains.
Jon Stewart, un animateur caustique et tordant doublé d’une idole des jeunes, y interviewe tous les soirs une personnalité différente à un rythme d’enfer: il n’est pas connu pour sa complaisance envers les puissants et les donneurs de leçon. Le danger était d’apparaître hautain et compassé, comme beaucoup d’hommes politiques français lors de leurs passages à la télévision américaine. De même, la désinvolture condescendante et les traits d’humour ratés pouvaient tout gâcher.Christine Lagarde a réussi un sans-faute.
La surprise de Stewart était d’abord visible à l’écoute de l’Anglais parfait de
notre ministre des financess. La Française, ancienne patronne à Chicago, jusqu’en 2004, de l’énorme cabinet d’avocat international Baker and McKenzie, est une fine connaisseuse des Etats-Unis, de ses médias et de sa vie politique, et a su parfaitement trouver le ton juste, tempérant poliment l’animateur qui s’empressait de l’interroger sur la crise en France par un «Bonjour» souriant en français avant d’expliquer simplement et brillamment sa vision du système économique français et la nécessité d’une coopération internationale pour résoudre la récession en cours.
A la question, «avez-vous viré des banquiers», la ministre a répondu par l’affirmative, présentant en quelques phrases simples le rôle de l’Etat en France et le but de ses prises de participation, avant de déjouer finement les gentils pièges tendu par Jon Stewart: "vous ne voulez pas virer quelques-uns des nôtres?" a t-il demandé avant un amusant «De la France ou des Etats-Unis, qui est le plus socialiste des deux?». La question était une référence ironique aux critiques de la politique de Barack Obama les plus courantes sur les chaînes de News.
Christine Lagarde, tout en défendant notre système social, a su répondre que les deux pays se rapprochaient, la France en favorisant plus l’initiative économique, les Etats-Unis en renforçant sa protection des moins favorisés. Sommée de traduire «Catastrophique economic downturn» en français (récession économique catastrophique) elle a entendu Stewart assurer que cela sonnait si bien dans notre langue que le terme semblait moins inquiétant. Et certes, Christine Lagarde a assuré que des signes multiples prouvaient que
le pire était passé. Sur ces mots, alors que s’achevait leur conversation, elle a sorti de son sac deux bérets basques, dont l’un était destiné à Stewart.
"J’étais persuadée que vous me serviriez tous les clichés sur la France" a t-elle dit en se coiffant d’un béret tout en lui tendant l’autre superbe et typique couvre-chef. Dans l’assistance, les applaudissements nourris ont salué l’évènement. 30% des téléspectateurs de moins de 25 ans tirent leurs principales informations du show de Jon Stewart. La ministre a donné une nouvelle image de la France et su distiller avec humour assez de substance sur un show de grande écoute. Jon Stewart a gardé son béret jusqu’à la fin de l’émission.




Source: Magazine "Gala" France Tous droits réservés
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Induction, deduction, and a model is only as good as its interpretation

View, understand, and then predict the behavior of the macro environment, rather than attempting to go from assumptions about micro to predictions about macro. – Robert Haugen, Emeritus Professor of Finance, University of California, Irvine. From his 2004 book, "The New Finance", 3rd Edition, page 123.
...as we travel from left to right, we go from order to complexity and finally into chaos.

At the extreme left, where there is order, mathematical models predict and explain well [as in much of physics].

As we move to the right, induction and statistical estimation dominate deduction and mathematical modeling in their ability to explain and predict... –"The New Finance", page 131.

Financial economists, both rational and behavioral, dazzle themselves with sophisticated mathematics. They gain much comfort in the intellectual rigor of their methodologies.

It makes no difference if their assumptions are completely unrealistic, so long as they parallel those made by their peers.

To them elegance [advanced, complete, and impressive mathematics] is all that matters. They look with disdain on studies of psychologists, sociologists, and anthropologists because their work seems so mushy in comparison to their own. They dismiss as unimportant forces that may actually be crucial but impossible to treat with mathematical rigor. –"The New Finance", page 132.

Reading London School economist John Kay's recent Financial Times article, "How Economics Lost Sight of the Real World", reminded me of Robert Haugen. Haugen is a maverick (let's not let John McCain and Sarah Palin ruin an important word), who fought very hard, and caustically, for decades against grossly unrealistic literal, or relatively literal, interpretation of models that show tremendous efficiency by making assumptions like, for example:

– Everyone in the world has perfect, or near perfect, rationality.

– Everyone in the world has advanced and specialized expertise in finance, economics, law, government, science, etc., that takes years or even decades of education and training to acquire. Or, they are able to perfectly know who has that expertise and can also be trusted to give it honestly, and at relatively little or no cost.

– Gathering information relevant to financial asset valuation (information, not just data) takes no time and is costless – even massive information gathering.

– Analysis of information relevant to financial asset valuation – even massive amounts of very complicated and difficult to interpret information – takes no time and is costless.

– Unlimited liquidity for all assets, and all buyers and short sellers.

– All assets can be sold short, and this short selling can be done instantly and at zero transactions cost.

– Even a relatively tiny number of savvy investors will have enough wealth, or access to enough wealth, that they can always buy assets up to their efficient price (Note: Even if they actually did have enough wealth to do this if they wanted to, a big problem that I pointed out in a 2006 letter in the Economist's Voice, which I have not seen elsewhere in the literature at least explicitly, is that they would be constrained by how undiversified their portfolio could become. As I wrote:
...suppose IBM is currently selling for $100, but its efficient, or rational informed, price is $110. It must be remembered that the rational informed price is what the stock is worth to the investor when added in the appropriate proportion to his properly diversified portfolio of other assets. Such a savvy investor will purchase more IBM as it only costs $100, but as soon as he purchases more IBM, IBM becomes worth less to him per share, because it becomes increasingly risky to put so much of his money in the IBM basket. By the time this investor has purchased enough IBM that it constitutes 20 percent of his portfolio, the stock may have become so risky that it’s worth less than $100 to him for an additional share. At that point he may have only purchased enough IBM stock to push the price to $100.02, far short of its efficient market price of $110. Thus, if the rational and informed investors do not hold or control enough—a large enough proportion of the wealth invested in the market—they may not be able to come close to pushing prices to the efficient level.
– The global equilibrium of the model is reached before any of the exogenous factors change, rather than those exogenous factors regularly changing before the economy can get anywhere close to that equilibrium (oh, and heaven forbid that a model should ever not have an equilibrium, that some key things should just always move, on average, in one direction. That never happens in reality over any time period of important length – except for trivial things like GDP growth, accumulation of knowledge, and advancement of technology)

– All asset returns have a normal data generating process (DGP), or some other DGP which is simple enough to write mathematically on a single line, or maybe a few, (The real DGP, depending on the level of precision you desire, can take thousands of pages to describe, or more), and has at least relatively thin, well behaved tails.

– Quick simple local numerical optimization techniques will find the global optimum even in highly complicated, high dimensional problems (and any cherry picking the starting point to get a more publishable result is fine, especially since you're almost never asked to provide the computer programs and a large class of important assumptions and details you used by the academic finance journals, including by and large the top ones)

– Accuracy and stability of numerical algorithms is never a problem, so you can use whatever techniques you know, whichever are the easiest, or give you the most publishable results. (And, you learn how to do numerical accuracy and stability well and then spend the time to do it well at your own peril. Because it's given little if any consideration at the academic finance journals, and it takes a lot of time, which will substantially lower your publication production and therefore your advancement.)

Of course, not all models in economics and finance that conclude great efficiency make all of these assumptions, but they all make assumptions like these, that as a group are extremely unrealistic. Does that mean that you can't still learn some valuable lessons from models like these? No. Often you can. But you have to interpret the model intelligently, using high level, not mechanical, intelligence. You certainly don't unthinkingly automatically interpret these models literally, as if the real world behaves exactly, or even qualitatively exactly, like the model. And the same goes for econometric models and techniques utilizing empirical data.

Now let's get back to Haugen. In his 2004 book, "The New Finance", 3rd edition (the 4th is being released May 2nd), he makes many of the same points Kay does, as well as important related ones. I think this book can convey some very important insights that are seldom or never heard in the academic finance literature, but like models, and like most writing today, you should be careful about interpreting it too literally. There's hyperbolic or very hyperbolic writing throughout the book, and many of the statements are literally exaggerated, or falsely absolute.

Does Haugen understand that these statements are exaggerated and falsely absolute? I've read a lot of his work, and he's extremely intelligent. I think he does understand this, at least in most cases. In part, though, like almost everyone, he succumbs at least to a substantial extent to the great pressure to write with what's considered "good style", and that means smooth and simple, (as well as, depending on the venue, profound-sounding, "professional", entertaining, etc.) even if it results in a false simplicity, saying things that are literally false and/or likely to mislead a substantial percentage of the readers in important ways (for more on this, see my very first blog post).

In large part, though, Haugen is just shouting because he's angry, and because it's so hard to get through with the grip the unrealistic efficient market people have (and especially had) on academic finance, with their great control of the journals and departments, and therefore advancement, prestige and money.

That said, let's get to some of the statements in Haugen's book that are similar to, or related to, statements in Kay's article. I think they can add valuable insight; there's a lot of truth to them. But again, I recommend that you be careful not to take Haugen's exaggerated and absolutist statements completely literally:

KAY: Since the 1970s economists have been engaged in a grand project. The project’s objective is that macroeconomics should have microeconomic foundations...

Most economists would claim that the project has been a success. But the criteria are the self-referential criteria of modern academic life. The greatest compliment you can now pay an economic argument is to say it is rigorous. Today’s macroeconomic models are certainly that...

But policymakers and the public at large are, rightly, not interested in whether models are rigorous. They are interested in whether the models are useful and illuminating – and these rigorous models do not score well here...There is not, and never will be, an economic theory of everything. Physics may, or may not, be different. But the knowledge we can hope to have in economics is piecemeal and provisional, and different theories will illuminate different but particular situations. We should observe empirical regularities and – as in other applied subjects such as medicine and engineering – we will often find pragmatic solutions that work even though our understanding of why they work is incomplete.

HAUGEN: Chaos aficionados sometimes use the example of smoke from a cigarette rising from an ashtray. The smoke rises in an orderly and predictable fashion in the first few inches. Then the individual particles, each unique, begin to interact. The interactions become important. Order turns to complexity. Complexity turns to chaotic turbulence...(page 122)

How then to understand and predict the behavior of an interactive system of traders and their agents?

Not by taking a micro approach, where you focus on the behaviors of individual agents, assume uniformity in their behaviors, and mathematically calculate the collective outcome of these behaviors.

Aggregation will take you nowhere.

Instead take a macro approach. Observe the outcomes of the interaction – market-pricing behaviors. Search for tendencies after the dynamics of the interactions play themselves out.

View, understand, and then predict the behavior of the macro environment, rather than attempting to go from assumptions about micro to predictions about macro...(page 123)

...as we travel from left to right [in figure 10-5 above], we go from order to complexity and finally into chaos.

At the extreme left, where there is order, mathematical models predict and explain well [as in much of physics].

As we move to the right, induction and statistical estimation dominate deduction and mathematical modeling in their ability to explain and predict...

Induction dominates deduction in its predictive power... (page 131)

Financial economists, both rational and behavioral, dazzle themselves with sophisticated mathematics. They gain much comfort in the intellectual rigor of their methodologies.

It makes no difference if their assumptions are completely unrealistic, so long as they parallel those made by their peers.

To them elegance [advanced, complete, and impressive looking mathematics] is all that matters. They look with disdain on studies of psychologists, sociologists, and anthropologists because their work seems so mushy in comparison to their own. They dismiss, as unimportant forces that may actually be crucial but impossible to treat with mathematical rigor. (page 132)

I largely agree with Haugen, but a key point of disagreement, at least with what he often writes literally, is that deduction is useless, or near useless, in highly complex situations. Deduction can still be extremely valuable.

Although in such situations deduction alone is not very good at very precise forecasts:

a) It can still give you very valuable qualitative understanding and ideas, like if you do X, or follow X policy, you will become much wealthier, at least 50% wealthier. You don't know the amount very precisely, but you do know that it's in a big range, and so the policy or idea is well worth doing. For example, the Capital Asset Pricing Model (CAPM) may not be very good (used alone) at precise forecasts of stock prices, but it does make clear that I can get a far lower risk level, not just a little lower, but far lower, for a given mean return, if I buy stocks in a large, highly diversified portfolio, than if I buy them singly, if I'm a layperson with no special information or analysis.

b) The understanding we get from deduction can help us improve our inductive research and models. It can give us a much better idea of where to look and what to look at in the inductive process of studying end results and situations. But we only get good and valuable understanding from deductive models if we interpret them intelligently, not automatically literally, or automatically qualitatively literally. It's worth repeating: A model is only as good as its interpretation.

c) Deductive understanding can be combined with inductive models and econometrics to substantially – often greatly – improve the forecasts. It can tell us when the inductive model's forecast based on the past will be much too low, or much too high, because of important recent changes from the past.

The problem isn't that deduction, and deductive models, are useless, or near-useless, in highly complex situations. It's that especially fresh water economists have been making ridiculously overly-literal interpretations and claims from deductive models. This is partly due to a focus on mathematics rather than economic intuition and other high level thinking. And it's partly due to the fact that many of these economists are extremely Libertarian, and are very willing to intentionally mislead in making conclusions from these models to support Libertarian economic policies.

In addition, there is a very strong incentive to make untrue big claims about an academic's models, or the models in an academic's area, so that they are more likely to be published in top journals, which is overwhelmingly what determines employment, promotion, power, prestige, and earnings. Academics especially feel freer to make these claims when they use advanced mathematics so little known that not only the general public can't read the papers to see how overblown and downright false they are, even the vast majority of fellow economists can't; even for them these paper are like written in Greek. They may even speak some Greek, but to decipher Greek this elaborate and advanced would take a lot more time than they have, especially since the vast majority of economists are not in this area and don't get paid to spend time in this area.

Eventually we reached a point where academics making grandiose, but ridiculous claims from highly mathematical models with efficient equalibria exerted great control at the top journals. And they used their gatekeeper ability to fight very hard to allow in papers that agreed with them, and to keep out papers that didn't. Sadly, they have been very successful at this, and they did it largely because if their research became a lot less prestigious and publishable, it would mean a huge decrease in personal prestige, positions, prizes, and earnings.

Likewise, their students, future economists, had a huge incentive to push these ridiculous claims and conclusions, because they had spent years learning these models and the associated mathematics, and if the claims of these models were exposed, their ability to publish in top journals, and from that to get high paying, high prestige jobs at top universities, would decrease dramatically. Since Economics Ph.D. students at schools like Chicago are largely type A, ultra-ambitious from childhood, work-a-holics, the thought of ending up making $80,000 per year as a professor at Penn State, rather than hundreds of thousands, or millions per year, including royalties, consulting, etc., at Chicago, is a huge incentive to support the party line.

So there are serious problems in economics and finance academia that stem pivotally from enormous asymmetric information, the fact that those predominantly paying for the research, the tax payers, have almost no ability to understand the highly mathematical and technical papers, and discern which are of great societal value, which are of little, and which have extremely unrealistic and harmful overly-literal conclusions from models to the real world.

We talk about market problems in finance justifying greater regulation, but the same may be true of finance academia, and economics academia. We really need to think about having a federal government department to monitor, study, and regulate, at least to some extent, how academia uses it's human and other resources, whether they are being spent in proportion to their risk-adjusted expected societal value over the short, medium, long, and extremely long run. The journals and departments right now, and for some time, award publications, grants, jobs, promotions, and prizes grossly out of line with the social NPV of the research work.

We really need to seriously study the idea, and specifics, of a large federal government department staffed by academics in economics, finance and other fields to study whether their academic fields, their departments and journals, are rewarding, and spending resources, in line with societal NPV (which does, of course, consider all benefits, including very long term, and unlikely but potentially huge), rather than largely in line with the enjoyment, prestige, and enrichment of those in control. And if things are way out of line, the government department has strong and wide ranging powers to do something about it.

Such a government department will, of course, need to develop a culture of loyalty to the public good, and not one's academic field. And there will need to be transparency and watchdogs, and in general the systems, techniques, and procedures which have greatly improved the efficiency and professionalness of civil service over the last century (especially when we have a party in power that tries to make government succeed, rather than one which tries to make it fail, and uses it extensively to enrich cronies).

Certainly there are problems with this idea; any implementation would require a lot of fine tuning, checks and balances and safeguards, with some portion of funds earmarked to be spent completely at academic department disgression, but too many economists forget a cornerstone of economics, that analyses should be cost-benefit, not cost alone. Yes, there are costs and problems with this idea, but the benefits could be enormous, and the costs of doing nothing could be far larger. If academic economics and finance had been tightly focused on honest research to maximize societal NPV over the last generation, we could easily have generated trillions of dollars more in wealth and total societal utility. A great place to start in increasing economics' societal NPV would be stopping the gatekeepers from ignoring the pink elephant of economics, positional/context/prestige externalities.

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$279 Mln Budget Passed by the BVI House of Assembly

The record budget of $279,8 mln which was presented by the Premier in March, has been passed by the British Virgin Islands House of Assembly. This was preceded by some weeks of intensive deliberation at Standing Finance Committee and two days of debate in the House.

The projected revenue outlined by the Government for 2009 is $279,841,000, and its operational expenses are $253,593,100, with an estimated surplus of $26,147,900. By words of the Premier and Finance Minister Ralph O'Neal, the budget was estimated considering the factors of global financial crisis and the G20 summit in London.

BVI Premier noted that 63% of BVI's revenue comes from financial services, and that is why they have to work on legislation and to make all possible efforts to protect the financial services industry in the jurisdiction, and to protect and enhance its status in the financial world. By his words, the country has opportunities for this.
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Harta rutiera Anglia earth TV live webcam Londra

Anglia este cea mai mare ţară din Regatul Unit al Marii Britanii şi Irlandei de Nord, se întinde pe doua treimi din centrul şi sudul insulei Marea Britanie, plus insulele dinspre coastă din larg, dintre care cea mai mare este Insula Wight.

Londra, capitala Angliei şi a Regatului Unit, este cel mai important centru politic, financiar, cultural şi artistic, şi unul din cele mai importante oraşe ale lumii. În Londra se găsesc sediile a numeroase instituţii şi corporaţii de importanţă globală precum, numeroase ambasade şi consulate. Westminster (Palatul şi Abaţia) şi Biserica Sf. Margareta din Londra au fost înscrise în anul 1987 pe lista patrimoniului cultural mondial UNESCO.

Harta rutiera Anglia - Regatul Unit

"earth TV live webcam London, UK"
View of Millenium Bridge and Tate Gallery

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Cielo Turbolento con temporale 29042009

foto panoramica del fronte freddo arrivato da ovest-nord ovest questo pomeriggio.


Il TEMERARIO decolla da Orio in basso a sx






Manca il vento non c'è updraf mannaggia, danza lenta come mai?












Finalmente si inizia con qualche nuvola interessante !
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L'importanza del branding oggi

Spesso in periodi di rallentamento economico, come l’attuale, i responsabili di marketing vedono nel taglio dei costi la soluzione temporanea più efficace. Il budget media è di conseguenza uno dei primi ad essere messo a rischio.
La storia però ci insegna che proprio in contingenze come quella odierna, scelte coraggiose finalizzate a lasciare integro il budget di comunicazione si possono rivelare altamente strategiche per le aziende.

Questo perché:
  • è dimostrato che uscire dalla scena comunicativa e perdere il contatto tra il marchio e il proprio pubblico è una scelta molto delicata. Il risparmio iniziale é infatti inferiore al costo che questo stesso marchio dovrà poi affrontare per ricostruire la relazione negli anni a seguire
  • il rallentamento economico ha effetto sugli equilibri di mercato: molti brand scompaiono dalla scena comunicativa e quelli che restano hanno la possibilità di ottenere una share of voice più alta a parità di investimento. Se c’è meno rumore di fondo sarà più facile far sentire la propria voce e consolidare la propria presenza nella mente dei consumatori
  • per raggiungere i massimi livelli di efficacia ed efficienza nella comunicazione la prima regola è l’integrazione opportuna tra mezzi tradizionali e online. L’online, e in particolare il search marketing, si caratterizza per il fatto di non presentare barriere all’ingresso per chi decide di investirvi, garantendo alti livelli di ritorno sull’investimento e chiare metriche che sottolineano la misurabilità del mezzo. Su Internet si può capire quanto rende ogni euro investito
  • Il motore di ricerca è in grado di incrementare l’efficacia di tutto il media mix, proprio perché a fronte di costi contenuti consente di chiudere il cerchio della comunicazione intercettando coloro che stimolati da uno spot TV o una pagina stampa vanno sul web per approfondire l’interesse suscitato.
Molti studi hanno dimostrato che apparire sulla prima pagina del motore di ricerca incrementa la visibilità del brand, presidiando quella che potremmo definire la “share of mind” dei consumatori. Un utilizzo strategico di questo mezzo consente quindi di sviluppare una vera e propria campagna di posizionamento, semplicemente facendo comparire il proprio annuncio a fronte di ricerche che hanno a che fare con i propri asset valoriali, tangibili o intangibili che siano.
Un esempio? Se una persona cerca “auto sicura”, le case automobilistiche che giocano sulla sicurezza il proprio vantaggio competitivo potranno comparire con un annuncio che risponde in modo puntuale a questa ricerca e che conduce direttamente alla landing page che parlerà di sicurezza.
In questo modo si sviluppa “share of concept”: la sicurezza sarà un valore attribuito più a questa casa automobilistica che ad altre.

Oggi più che mai è opportuno studiare strategie di comunicazione che consentano di mantenere viva la relazione con i propri consumatori e rafforzare il proprio posizionamento di marca. In passato, durante la depressione economica, alcune aziende come ad esempio Kellogg’s, hanno fatto questa scelta e ancora oggi conservano un’indiscussa posizione di leadership.

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